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Roman policier fantastique

couverture du roman policier fantastique "Le Radiateur de Frénégonde"

Le radiateur de Frénégonde

Un roman policier fantastique plein d'humour

Le radiateur de Frénégonde est avant tout un roman policier. Il commence avec la découverte d’un cadavre exsangue dans une chambre froide. L’enquête est menée par le commissaire Jules Racine. Jusque-là, rien de bien original. sauf que… L’histoire est racontée à la première personne par Frénégonde, accorte jeune fille à qui personne ne donnerait ses treize siècles, qui vient de passer huit ans dans la fameuse chambre froide avec le cadavre en question. C’est là que le fantastique pointe son nez. Et si ce roman policier est plein d’humour, c’est que mam’zelle Frénégonde n’a pas sa langue dans sa poche…

Le pitch de ce roman policier fantastique et humoristique

Le commissaire de la brigade criminelle Jules Racine est chargé de l’enquête concernant le meurtre de Rachel Gudermann, dont le cadavre momifié a été découvert dans une chambre froide. Jules Racine attaque tranquillement la deuxième partie de sa vie, et n’aspire qu’à faire son travail correctement, mais sans zèle excessif. Il se trouve que cette enquête va se révéler bien particulière, et qu’il aura besoin, pour la mener à bien, du renfort de la pétulante Frénégonde. Celle-ci offre de bien étranges caractéristiques, que le lecteur découvrira au fur et à mesure de la lecture de ce roman policier qui sort de la logique traditionnelle pour revisiter avec humour le mythe du vampire…

Ainsi commence ce roman ...

Huit ans ! À en croire l’affiche électorale placardée au mur, en face de la boutique, j’ai passé huit putains d’années à me geler les noix dans ce congélateur ! Mais j’entends déjà crisser de pointilleux sourcils, alors mettons les choses au point tout de suite. J’écris comme je parle, et je parle comme je veux, sans me soucier de savoir si ça vous gratouille, vu que vous n’êtes ni mon père, ni ma mère, et que même eux, vu la façon dont ils m’ont traitée… Mais bref. Les plus attentifs d’entre vous auront noté le « e » marquant le féminin à la fin du mot « traitée ». Ce « e » est logique, vu qu’il est dû à l’accord avec le complément d’objet direct, icelui se trouvant placé avant l’auxiliaire. Or ledit complément parle de moi, qui suis née femelle. Donc oui également, je ne pouvais pas, à proprement parler, me geler les noix, vu que je n’en ai pas. Il s’agit une expression triviale, comme j’ai l’habitude d’en employer, et si vous commencez à enchoser les mouches pour le moindre détail, on n’a pas fini de pinailler, c’est moi qui vous le dis. Pour être tout à fait claire, je me tape qui je veux quand je peux, mâles et femelles, et pourquoi pas en même temps (ce qui n’est pas encore arrivé, je vous l’accorde), je fume la pipe et le cigare si ça me plaît, je bois sec quand ça me chante, je mange gras et sucré pour le plaisir. C’est comme ça et pas autrement.

Et donc, comme je vous l’expliquais au début du chapitre, je viens de passer huit ans dans un frigo. Non, non, non, ce n’est pas une figure de style. Il s’agit d’un vrai frigo, ou plus exactement d’une chambre froide professionnelle d’une vingtaine de mètres cubes en parfait état de fonctionnement. Vous me direz, je n’étais pas seule. Madame Gudermann me tenait compagnie, mais le moins que l’on puisse dire, c’est que la conversation de son cadavre ne valait pas sa conservation. LOL, comme vous dites. De toute manière, ça ne faisait pas trois jours qu’on était ensemble que son âme se tirait à l’étage au-dessus, me laissant seule dans ce putain de frigo où je serais encore si un flic, plutôt mignon bien que rouquin, n’avait pas ouvert la porte il y a une petite heure de ça. J’ai profité du léger courant d’air provoqué par ses collègues de l’identité judiciaire, venus examiner les restes momifiés de la victime, pour me glisser par l’ouverture avant que quelqu’un ne referme ce tombeau, par inadvertance, et pour une durée indéterminée. C’est que j’ai horreur du froid, moi, et pour cause.

Ce qu'en disent les lecteurs

***** Je me suis régalée, ce livre est un bonbon, très facile à lire (Cathy – 26/04/2020)

***** Dévoré rapidement ! l’écriture, l’histoire, tout est fluide et bien rythmé, drôle. Merci pour ce moment de plaisir (Irène-03/04/2020)

***** Une énigme policière et des personnages drôles et pleins de surprises. Une bonne respiration. (Isa – 12/04/2020)

***** Très bon polar. À dévorer sans attendre. Un humour très français (Stéphanie – 16/04/2020)

***** Quand Bram Stoker rencontre San-Antonio  ! Les trépidantes aventures de la pétulante Frénégonde se lisent d’une traite, et on se retrouve à la fin, tout surpris, et impatient de lire la suite. ( Philippe – 08/05/2020 )

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