CHAPITRE 2 Découverte C’est un homme grand. Pas un géant toutefois. Mais un homme fondamentalement grand. C’est à dire que sa taille constitue la caractéristique première du personnage pour qui le découvre. Les autres particularités qui font de ce banal homo sapiens un individu unique disparaissent quelque peu derrière cette altitude inusitée. De là à […]
Les carnets… Épisode 2 Lire la suite »
J’ai, cachés dans de vieux dossiers de mon ordinateurs, quelques romans qui n’ont pas eu l’heur de plaire aux éditeurs, en leur temps. A cette époque là, l’édition à la demande n’existait pas. La nuit dernière, je me suis dit, comme ça, que je pourrais les transformer en feuilletons, comme ça se faisait jadis. Et
Les carnets de Jonathan – épisode 1 Lire la suite »
Rejoignez nous nombreux à la première édition du salon « l’assassin habite dans le 29 » de l’Ile Tudy, les 30 et 31 mars 2024. Vous pourrez y rencontrer un large panel d’auteurs de polars et de thrillers, qui seront ravis de partager avec vous leur univers d’écrivain.
Premier Salon du polar de l’Ile Tudy Lire la suite »
Le dimanche 10 mars 2024, la commune de Plouguin organise son premier salon du livre. J’y présenterai mes cinq parutions actuelles : Le roman policier fantastique « Le Radiateur de Frénégonde » ; Le polar d’humour noir « le saigneur des agneaux » ; le roman d’anticipation politique (et d’amour, quand même) « A mon corps défendant », la fable philosophique
Premier salon du livre de Plouguin Lire la suite »
Ésope, le précurseur des fables à moralité Buste du premier fabuliste célèbre, Esope, source d’inspiration de la Fontaine Les fables à moralité sont un genre littéraire ancien, qui compte des ancêtres illustres. A l’origine, les fables à moralité sont de courts textes en prose, mettant en scène des personnages caricaturaux, souvent imagés sous forme d’animaux,
Les fables à moralité Lire la suite »
Un parcours de lecteur insoumis Aussi loin que je remonte dans mes souvenirs, j’ai toujours aimé la littérature. J’ai dévoré, très jeune, tous les romans qui trainaient à la maison, les bibliothèques rose puis verte ne suffisant pas à alimenter mon besoin viscéral de me réfugier dans des univers moins pénibles à supporter que ma
Mes maîtres à penser Lire la suite »
